Nihil durare potest tempore perpetuo : cum bene sol nituit, redditur oceano.

Nihil durare potest tempore perpetuo : cum bene sol nituit, redditur oceano.

 

    Voilà une sorte de « vanité » pompéienne, à savoir un graffiti conservé grâce au Vésuve, en octobre 79, mais détruit par un orage en 1913, et servant d’écrin au roman Boulevard et Trébuchet publié au Troubadour en 2021.

     Claudius V. Marcellus (20 – 81), illustre inconnu ayant survécu à l’éruption, est le poète qui, de façon prémonitoire et sans laisser de signature, avait griffonné cet aphorisme sur un mur ; en fait, seul des clichés (cf. moteurs de recherche) datant d’avant 1913 attestent de l’existence de cette inscription.

     Ne pouvant se résoudre à l’idée que ledit poète ait pu périr lors de la tragédie de 79, l’auteur du roman sus-nommé, V. Lepalestel, lui a imaginé, de toutes pièces, une identité, puis l’a fait s’éteindre à l’âge de 61 ans, peut-être de sa belle mort…