Lettre ouverte à madame Élisabeth Borne et à monsieur Hervé Berville : sauver la méthode de Régis Révilliod – Enfin LA solution à la crise de l’eau douce !
Des salons ? Suffit ! Dessalons, oui ! Voici mon grain de sel.
Le 02.03.2023
Madame la Ministre, Monsieur le Ministre,
Dans les salons, on cultive les lamentations à la Cassandre : « aïe-aïe-aïe, la sécheresse va croissant autant que la montée des océans ! » ; alors, de grâce, dessalons vite l’eau de mer grâce à l’idée épatante de Régis Révilliod et aux conclusions de ce génie qu’était René Quinton (1866-1925).
Pénurie d’eau ? Sécheresse généralisée ? Un comble au vu des quelque 6000 km de littoral français ! Alors révillions-nous, et que l’État embauche vite Révilliod, lequel a abondamment fait ses preuves…
Construisons ensuite des pipelines qui iront amener l’eau douce où elle manque dans nos campagnes, et revendons-la même aux voisins européens en souffrance.
Mais où trouver l’électricité indispensable à ce projet pharaonique ? Sur nos milliers de km de côtes, il y aurait la place pour des dizaines d’usines marémotrices comme celle de la Rance, non ? Allez, on se bouge !
Aménageons une gigantesque bassine d’1 million de m3 au Puy de Sancy et de là, irriguons tout ce qui se trouve en contre-bas afin de recharger les cours d’eau et les nappes phréatiques. Idem pour le Monte Cinto ou autre Ballon d’Alsace…
Hors de prix, tout ça, certes, mais quand la volonté est là…
Recevez, Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, mes salutations les plus distinguées.
Vincent Lepalestel
Cf. l’article de Luc Lenoir du 18/01/2020 https://www.lefigaro.fr/societes/le-bateau-francais-qui-transforme-l-eau-de-mer-en-boisson-20200118 ainsi que https://www.youtube.com/watch?v=ESwTebxJXtA&t=67s