cf. RUBRIQUE I : SATIRE À BOULETS ROUGES (34 lettres)
cf. RUBRIQUE II : LE FRANÇAIS, NOTRE BIEN COMMUN (29 lettres)
cf. RUBRIQUE III : O TEMPORA, O MORES ! (4 textes)
De l’origine du pseudonyme Charles Treuil de Montessieu : dans un atelier des chemins de fer, un beau jour, Charles, le contremaître, eut l’idée, pour monter un énorme essieu de locomotive, d’avoir recours à un treuil ; cela lui valut, de la part de ses ouvriers admiratifs, le surnom de Charles Treuil de Montessieu, Plus tard, devenu homme de lettre à la suite d’une erreur d’aiguillage, ledit Charles conserva le sobriquet pour en faire un nom de plume qu’il prêta volontiers à Vincent Lepalestel. Ce dernier l’utilise désormais pour rédiger des lettres ouvertes un peu déjantées, les lettres insanes regroupées en 3 rubriques consultables isolément.
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